La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1159)
La jeunesse dEdouard dEvans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite) -
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je vais t'éduquer en un bon chien soumis à Mes pieds ...
J'étais là... nu, agenouillé, les mains liées, envahi par une étrange sensation mêlant la honte et la plénitude... Si la situation était humiliante, imprévisible, j'avais pourtant le sentiment de savoir enfin ! De savoir ce que j'avais eu honte de m'avouer jusqu'ici... de savoir ce que j'avais toujours espéré, désiré, attendu, ce qui se passait... Dans son coin, Joëlle ne disait rien, immobile comme une statue, j'entendais à peine le souffle léger de sa respiration. Elle était magnifique avec ses anneaux aux tétons et aux lèvres intimes. Le Maître, ainsi que je devais désormais m'adresser à Lui, était confortablement installé dans Son fauteuil... il avait dégagé Son sexe et le tenait dressé comme le sceptre triomphant de Sa Domination :
- Viens !, mordonna-t-il
Mu par la peur autant que par le désir... je m'avançais gauchement vers lui, mes entraves rendant ma progression à genoux difficile... mais je parvins jusqu'à Lui et sans qu'Il eut besoin de dire quoi que ce soit, mes lèvres s'approchaient de Sa volumineuse verge. Il saisit alors ma nuque et m'attira à Lui, enfonçant Sa verge dressée entre mes lèvres, jusqu'au fond de ma gorge, jusqu'à m'... Je n'avais jamais fait de fellation, mais je n'étais pas en position de m'exprimer, je n'étais alors que le réceptacle soumis de lexcitation physique de Maitre Edouard. Il me guidait, me dirigeait, m'emplissait, maintenant fermement ma tête de ses mains appuyant sur ma nuque... Ainsi il me ramona la bouche jusquà la gorge un long moment, alternant la cadence, métouffant quelques secondes puis relâcha la pression afin de me laisser reprendre de lair dans mes poumons. Lorsque Son plaisir jaillit enfin, de longs flots saccadés de semence inondaient ma gorge, j'avalais tout, ... il est vrai que je n'avais guère le choix, Ses Mains maintenant fermement ma nuque.
- A genoux
J'obéis aussi rapidement que me le permit ma situation, mes mains liées dans le dos ne facilitant pas mes mouvements. Mais je retrouvais rapidement cette position dont je comprenais qu'elle serait désormais celle qui symboliserait ma nouvelle vie. Une vie qui ne tarda pas à se mettre en place, d'ailleurs. C'en était fini de la procrastination qui m'avait si souvent guidé ma façon d'être. Maitre Edouard avait défini des Règles strictes, encadrant chaque instant de mon existence désormais totalement dédiée à servir Sa Volonté. J'avais de nombreuses tâches à effec à la maison, d'autant que le Noble avait décidé que Joëlle serait désormais délivrée de ces tâches vulgaires, pour se dévouer totalement à Ses Plaisirs, à Lui, Le Maître... Je ne compte plus le nombre de fois où il la baisait, lenculait, la fouettait sous mes yeux tandis que je passais la serpillère ou que je faisais la vaisselle
Chaque jour, je consacrais donc mes efforts aux tâches ménagères, mais sans jamais négliger mes cours et mes devoirs. Monsieur le Marquis effectuait un contrôle très strict de tout et il fixait les châtiments destinés à sanctionner le moindre écart et à me rappeler quotidiennement ma place et mes devoirs. Je me souviens, même encore aujourd'hui où mon corps est rompu à des tourments bien plus cruels, de la première fois que je reçus le martinet...
Je me tenais à genoux aux pieds de Maitre Edouard... Il faisait le bilan de mes premiers jours de servitude et le décompte de mes erreurs. Joëlle, toujours aussi belle avec sa chevelure brune et ondulée se terminant en queue de cheval, se tenait dans la même position que moi, mais face à moi, auprès du Maitre. J'avais le sentiment qu'elle jubilait de percevoir la honte que j'éprouvais et les critiques qui accompagnaient ce bilan sans concession... Le verdict ne tarda pas... Trente coups de martinet, pour commencer, le Noble jugeant qu'il était nécessaire de formater progressivement mon corps afin qu'il reçut par la suite des corrections bien plus appuyées.
J'aurai tant voulu aussi sentir cette Main Possessive et Inquisitrice sur ma chair... mais je n'y eus pas droit. Joëlle, sur ordre du Châtelain, se chargea donc de la besogne avec une manifeste motivation à bien faire, à obéir en tout point, en toute chose qui pouvait lui être ordonné. Pour cette première fois, j'avais les poignets liés et je me tenais le ventre sur la table du séjour, la croupe tendue, reposant tout juste sur la pointe des pieds. Mon corps, sans aucune expérience d'un tel traitement, se cambra dès le premier coup. Je mordais désespérément ma lèvre pour ne pas crier, mais chaque claquement me tirait un grognement effrayé. Tout mon corps était comme tétanisé, j'avais la croupe en feu, des larmes coulaient sur mon visage déformé par la douleur.
- Alors ? demandait-il... J'entendis dans un brouillard, la voix humble de la belle Joëlle :
- C'est une mauviette... si Vous me permettez, Maître...
Le rire léger du Noble fut sans doute le plus douloureux de tous les coups reçus !
- Il apprendra, répondit-il ensuite, il n'aura pas le choix de toute façon... Cest un chien à dresser et je le formaterai selon Mes convenances
Je demeurai immobile, les lèvres tremblantes, silencieux et attendis longtemps avant d'être autorisé à aller boire dans une gamelle qui avait été posée à même le sol... Ainsi je découvrais peu à peu les nouvelles normes régissant ma vie quotidienne. Etudes, tâches ménagères, sanctions régulières, service domestique et ma bouche en permanence à disposition, je trouvais mes marques dans cette existence réglée à la minute. D'autant que Maitre Edouard avait installé un système de surveillance en me faisait suivre par un autre soumis toute la journée universitaire et s'assurant ainsi de ne jamais perdre ma trace et me rendant totalement transparent 24h/24... Mettant fait peu de relation à la fac au début de l'année, je n'avais guère d'explications à donner de ma hâte à retourner chez moi dès la sortie de l'amphi
Quant à Joëlle, je la croisais parfois mais il nous était formellement interdit d'avoir le moindre contact hors de la maison. Bien sûr, les conditions de la "colocation" avaient également évolué. Désormais je devais me mettre nu dès que je franchissais le seuil de la porte et je connaissais par coeur la liste de mes missions, studieuses et ménagères, minutées avec précision.
(A suivre...)
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